Un observatoire académique des violences de genre
Sous l’impulsion ministérielle, l’académie s’empare de la lutte contre les LGBTphobies et l'inscrit dans le cadre plus large d'un observatoire des violences dites de genre, incluant les LGBTphobies mais également les violences sexistes et sexuelles.
L'ensemble de ces violences sont des manifestations du sexisme et du poids des normes de genre – qu’on parle d’identité de genre, d'expression de genre ou d’orientation sexuelle. Elles se réfèrent aux propos, gestes, actes néfastes/nuisibles qu'une personne impose à une autre en raison de son genre (identité, expression, orientation sexuelle).
Elles prennent toutes racines dans les rapports de pouvoir structurels et historiquement inégaux entre hommes et femmes et les normes de genre qui en découlent.
Elles ont un caractère massif et structurel dans notre société et contribuent à créer un climat d'intimidation, de peur, de discrimination, empêchant l'épanouissement et l'émancipation des personnes qui les subissent. De ce fait, l’institution scolaire a un rôle tout particulier à jouer parce que ces situations peuvent avoir des conséquences dramatiques pour les élèves mais également les personnels. Aucune situation de violence sexiste, sexuelle, LGBTphobe, des formes les plus banales aux formes les plus graves, ne doit rester invisible, sans réponse, sans prise en charge et accompagnement.
L’espace scolaire doit être un lieu privilégié pour analyser, repérer et apprendre à déjouer les mécanismes de reproduction des stéréotypes de genre, mais aussi des normes, des discriminations et des inégalités qu'elles légitiment. Cela est nécessaire pour éliminer efficacement et durablement toutes les violences de genre.
Source : Les stéréotypes, c'est pas moi, c'est les autres ! Lutter contre les stéréotypes pour construire une culture de l'égalité Laboratoire de l’Égalité (2013)
Les axes de travail de l'observatoire
Les travaux de l'observatoire s'inscrivent dans le cadre de ceux impulsés par le pôle Valeurs. Ils reposent sur la coordination de deux référentes et l'implication de 3 binômes en charge de l'avancement des 3 axes, et s'appuient au besoin, sur l'expertise de personnes et partenaires extérieures (justice, associations, recherche...)
- Axe 1 : Faire une veille active, recueillir, consigner toutes les situations de violence de genre et mesurer précisément l’ampleur de celles-ci dans les établissements scolaires (élèves comme personnels) [Sophie GAMBAROTTO & Déborah LAVAUD-CHARRONDIERE].
- Axe 2 : Accompagner les EPLE (Etablissements publics locaux d'enseignement) lors de situations problèmes sensibles et difficiles à résoudre concernant les élèves ou les personnels, afin de s'assurer que les victimes sont soutenues et que les établissements sont accompagnés dans leurs démarches [Isabelle ROMIG & Caroline ROULLIER]
- Axe 3 : Recenser/développer des outils, des actions éducatives de sensibilisation et élaborer un plan de formation ambitieux. Pour l'année 2023-2024 au Plan académique de formation : 2 jours consécutifs de formation sur les violences sexistes et sexuelles (mai 2024) et 2 fois 1 jour de formation sur la lutte contre les LGBTphobies (juin 2024) [Maeva BEGUIN-WAY & Sophie DUTEIL-DEYRIES]
Les travaux réalisés ou en cours
- Annuaire des associations partenaires pour la prévention des violences de genre
- Guide méthodologique à destination des chefs d'établissements pour une meilleure prise en charge des situations de violences sexuelles en établissement
- Fiches reflexe "Prise en charge des situations de violences sexuelles"
- Espace de ressources académiques pour lutter contre les LGTQIA+phobies
- Infographie pour comprendre les violences de genre
- Support visuel inauguration observatoire
Les actions en établissement
Des films d'élèves engagés contre les violences de genre :
Prix spécial meilleure vidéo prévention du harcèlement sexiste et sexuel NAH 2024
Laisse tes préjugés aux vestiaires - Lycée professionnel Léonard de Vinci, Montpellier (34)
Attention, certaines scènes peuvent heurter la sensibilité du spectateur.
FAQ : MIEUX PRENDRE EN COMPTE LES BESOINS DES ÉLÈVES LGBTQIA+ dans les établissements
Pour toutes remarques ou demandes de précisions concernant la page ou la foire aux questions, vous pouvez envoyer votre message à : observatoire-violencesdegenre@ac-montpellier.fr
Si un/une élève vient vous voir pour parler de sa transidentité, voici quelques éléments à prendre en compte :
- Écouter sans émettre de jugement
- Rassurer l’élève en lui disant qu’il/elle est en droit de se poser des questions
- Lui poser la question de sa demande et de ses besoins
- L’interroger éventuellement sur son ressenti
- L’orienter vers les personnes ressources de l’établissement (psy EN, CPE, personnel de santé social)
- Ne pas parler de la transidentité de l’élève à d’autres personnes sans son accord explicite
Si l’élève souhaite en parler à sa famille, voici quelques pistes pour l’aider dans cette démarche :
Pour l’Aude : Fiertés Carcassonne, Sos Homophobie, Fondation Le Refuge.
Pour le Gard : Sos Homophobie, Fondation Le Refuge
Pour l’Hérault : Sos Homophobie, Fondation Le Refuge, Fiertés Montpellier, Fiertés Béziers
Pour la Lozère : Sos Homophobie
Pour les Pyrénées-Orientales : Sos Homophobie, Fondation Le Refuge, Centre LGBT+66
Si l’élève a confiance en vous, vous pouvez l’accompagner lors d’un échange avec ses proches et un personnel formé de l’établissement.
Les élèves trans et/ou non-binaires ne viennent pas toujours parler de leur identité à un/une adulte dans l’établissement car les élèves ont peur du jugement et ne se sentent pas toujours en confiance.
Voici quelques pistes pour créer un espace sécurisé et de confiance pour amener les élèves trans à faire part de leurs besoins :
- Rappeler que les insultes sexistes, homophobes et transphobes ne sont pas tolérées dans l’établissement
- Utiliser des affiches de sensibilisation dans divers espaces de l’établissement ou dans votre bureau (ex: Queereille, affiche de campagne de sensibilisation …)
- Accompagner et former le personnel
- Mobiliser le CVC ou CVL pour mettre en place des actions en lien avec la thématique des inégalités de genre et LGBTQIA+
- Visibiliser l’existence de personnes LGBTQIA+ par des événements (par exemple lors du 17 mai, journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie), par des expositions (le/la professeur documentaliste peut être une ressource importante), par l'adoption” de la Queereille
- Penser à travailler cette visibilisation dans le cadre des apprentissages des textes, sensibiliser à l’absence de représentations dans les manuels par exemple et dans les ouvrages du CDI, promouvoir tous les “types” de famille : hétéroparentale, homoparentale, etc. (les adolescents et adolescentes concernées en ont besoin)
- Réfléchir à la configuration de l’établissement (toilettes, vestiaires, cour, etc) pour que chaque élève trouve sa place quelle que soit son identité de genre et limiter les inégalités d’occupation d’espace
Réponse extraite du livret foire aux questions LGBTQI+ réalisé par l’académie de Grenoble https://www1.ac-grenoble.fr/edito/mieux-prendre-en-compte-les-besoins-des-eleves-lgbtqi-123651 ; https://www1.ac-grenoble.fr/media/25409/download
Le prénom d’usage est le prénom utilisé au quotidien mais qui n’est pas indiqué sur l’état civil.
- Demander à l’élève ce qu’il/elle souhaite
- Si l’élève souhaite que son prénom d’usage soit utilisé pendant le temps scolaire à l’écrit, le cadre juridique nécessite d’avoir l’accord des responsables légaux.
Utiliser le prénom d’usage et les pronoms correspondant au genre de l’élève transgenre peuvent être des étapes très importantes pour reconnaître socialement son identité de genre.
Cas1 : Les responsables légaux sont en accord avec l’utilisation du prénom d’usage et il n’y a pas encore eu de changement de prénom à l’état civil:
- Respecter le prénom d’usage de l’élève et le faire respecter par tout le personnel de l’établissement
- Modifier le prénom sur tous les documents internes de l’établissement (carte de cantine, liste d’appel…). Le prénom d’usage ne pourra cependant pas être utilisé sur les documents officiels (diplômes nationaux…) car il n’a pas été changé à l’état civil.
Cas 2 : Les responsables légaux ne sont pas en accord avec l’utilisation du prénom d’usage; instaurer un dialogue avec la famille pour le bien-être de l’élève. Il est nécessaire d’avoir l’accord des deux parents pour changer le prénom sur les écrits
- Si la médiation fonctionne, le prénom d’usage sera utilisé dans les documents non officiels de l’établissement.
- Si la médiation échoue et que vous estimez que l’élève est en danger, vous pouvez rédiger une information préoccupante ou un signalement judiciaire en lien avec l’assistante sociale de votre établissement.
Cas 3 : Le changement du prénom à l’état civil a été effectué:
Tous les documents en lien avec la scolarité de l’élève et aux examens doivent être modifiés dans les meilleurs délais pour correspondre aux documents d’identité.
Si l’élève le demande, les diplômes et les bulletins scolaires délivrés avec l’ancien prénom doivent être réédités avec le bon prénom.
Réponse extraite du livret foire aux questions LGBTQI+ réalisé par l’académie de Grenoble https://www1.ac-grenoble.fr/edito/mieux-prendre-en-compte-les-besoins-des-eleves-lgbtqi-123651 ; https://www1.ac-grenoble.fr/media/25409/download
Le Centre de Santé Sexuelle
Pour l’Aude : Fiertés Carcassonne, Sos Homophobie, Fondation Le Refuge.
Pour le Gard : Sos Homophobie, Fondation Le Refuge
Pour l’Hérault : Sos Homophobie, Fondation Le Refuge, Fiertés Montpellier, Fiertés Béziers
Pour la Lozère : Sos Homophobie, TaPaGe
Pour les Pyrénées-Orientales : Sos Homophobie, Fondation Le Refuge, Centre LGBT+66
Certains élèves trans demandent à changer leur prénom mais ne changent pas leur expression de genre . Ex : une fille trans qui garde une expression de genre masculine ou un garçon trans qui garde une expression de genre féminine. Tout d’abord, l’expression de genre n’est pas forcément liée à l’identité de genre d’une personne, qu’elle soit trans ou non. Ainsi les élèves trans ne ressentent pas nécessairement le besoin de changer leur expression de genre.
D’autre part, la transidentité des élèves n’est pas toujours acceptée dans leur entourage familial, ainsi les élèves trans peuvent garder une expression de genre conforme à leur sexe assigné à la naissance .Quel que soit le choix de l’élève trans sur son expression de genre, il est important de veiller à ce que cette expression ne soit pas moquée ou remise en cause aussi bien par les élèves que par le personnel.
Enfin, les consignes concernant les tenues vestimentaires dans l’établissement scolaire ne doivent pas être différenciées selon le genre, mais être les mêmes pour tout le monde. Exemple : Si le maquillage est interdit, il l’est aussi bien pour les filles que pour les garçons.
Les élèves trans peuvent être en difficulté dans les espaces d’intimité quand il n’y a pas des lieux appropriés (comme des toilettes mixtes par exemple). (Circulaire du 29.09.2021 sur les élèves trans)
- Demander à l’élève quels sont ses besoins sur cette question
- Respecter et s’adapter aux besoins de l’élève
- En cas de déplacement, voyage ou sortie scolaire, il est important de garder ces dispositions pour les espaces d’intimité pour l’élève.
- Si besoin, lors de déplacements, avec l’accord de l’élève et des représentants légaux, l’établissement peut communiquer avec l’autre établissement ou la structure d’accueil pour que l’élève soit accueilli de manière sécurisée et selon ses besoins.
Cas 1 : L’élève ne souhaite pas d’aménagement spécifiques et est d’accord pour rester dans les vestiaires/toilettes/chambre du sexe qui lui a été assigné à la naissance. Dans ce cas, il n’y a pas besoin de changements mais il faut veiller aux potentielles réactions des autres élèves.
Cas 2 : L’élève souhaite des aménagements spécifiques pour ne pas rester dans les lieux d’intimité du sexe qui lui a été assigné à la naissance:
- Si votre établissement a suffisamment d’espace d’intimité: proposer des toilettes individuelles et des espaces privés pour les vestiaires et/ou dans l'internat.
- Donner l’autorisation à l’élève d’utiliser les lieux d’intimité conformes à son identité de genre. Pour les chambres, veillez à trouver un consensus avec les autres élèves, surtout en cas de chambre partagée. Des horaires aménagés peuvent être mis en place pour l’utilisation des vestiaires et/ou des salles de bains collectives.
Réponse extraite du livret foire aux questions LGBTQI+ réalisé par l’académie de Grenoble https://www1.ac-grenoble.fr/edito/mieux-prendre-en-compte-les-besoins-des-eleves-lgbtqi-123651 ; https://www1.ac-grenoble.fr/media/25409/download
Autoriser l’élève trans à utiliser les lieux d’intimité conformes à son identité de genre peut apparaître complexe au premier abord, en raison de l’habitude de séparer les filles et les garçons, notamment dans les lieux d’intimité, et de la crainte que les autres élèves (et les adultes de la communauté éducative) ne soient pas à l’aise avec ce changement.
La “crainte” derrière, est celle d’une suspicion de sexualité, qui peut être (pré)jugée comme dangereuse (fille=potentiel victime / garçon=potentiel agresseur), mais aussi “tabou”. Il n’est pas interdit à des mineurs d'avoir des relations sexuelles, si elles sont consenties (seule l’autorité parentale peut s’y opposer). En revanche, les relations sexuelles entre majeurs et mineurs sont strictement réglementées (Une personne majeure ne peut avoir de relations sexuelles avec une personne mineure de moins de 15 ans, âge légal de consentement).
Cette problématique est susceptible de se poser également pour l’ensemble des autres élèves de manière générale dans les lieux d’intimité non-mixtes avec les relations homosexuelles.
Plutôt que de laisser perdurer ces représentations anxiogènes sur la sexualité des jeunes en séparant filles et garçons, pour assurer leur “sécurité”, les questions posées par la présence d’élèves trans doivent nous inciter à faire évoluer nos représentations, ouvrir des espaces de dialogue, et assumer notre mission d’éducation à une sexualité inclusive, positive et égalitaire.
Cette problématique se pose également pour l’ensemble des autres élèves de manière générale dans les lieux d’intimité non-mixtes avec les relations homosexuelles (vision hétéro normée de la société). Cette problématique renvoie au règlement intérieur de l’internat de l’établissement.
Si les autres élèves ne sont pas à l’aise, il convient de trouver une solution provisoire en attendant d’instaurer un dialogue avec les élèves pour trouver un consensus ou une autre solution alternative (chambre individuelle pour l’élève trans en internat, bureau ou pièce neutre pour les vestiaires par exemple : beaucoup de solutions existent).
Tous les élèves ont leurs propres besoins d’intimité et ne sont pas forcément à l’aise dans ces lieux. Cela peut être l’occasion de repenser les espaces d’intimité pour le bien-être de l’ensemble des élèves.
Il est possible que des élèves ou/et des parents d’élèves tiennent des propos LGBTQI+phobes à l’égard d’un/une élève et s’appuient sur leur religion pour justifier leurs propos. Il est important de rappeler en premier lieu que les établissements scolaires sont des lieux laïcs, en vous appuyant sur la Charte de la laïcité à l’école. Ainsi, dans le cadre scolaire, chaque élève est libre de s’épanouir et d’exprimer qui il est et se doit de respecter les autres élèves.
Voici quelques extraits de cette charte avec lesquels vous pouvez vous aider :
- “6”. La laïcité de l’École offre aux élèves les conditions pour forger leur personnalité,exercer leur libre arbitre et faire l’apprentissage de la citoyenneté. Elle les protège de tout prosélytisme et de toute pression qui les empêcheraient de faire leurs propres choix.”
- “8”. La laïcité permet l’exercice de la liberté d’expression des élèves”
- “9”. La laïcité implique le rejet de toutes les violences et de toutes les discriminations, garantit l’égalité entre les filles et les garçons et repose sur une culture du respect et de la compréhension de l’autre.”
Réponse extraite du livret foire aux questions LGBTQI+ réalisé par l’académie de Grenoble https://www1.ac-grenoble.fr/edito/mieux-prendre-en-compte-les-besoins-des-eleves-lgbtqi-123651 ; https://www1.ac-grenoble.fr/media/25409/download
- Prendre en compte les différents schémas familiaux : il y a différents schémas familiaux chez les élèves, que vous pouvez retrouver dans la question ci-dessus. Ainsi, il est important de ne pas présupposer que l’élève est né d’un couple hétérosexuel et vit avec ce même couple hétérosexuel, qui serait constitué de ses représentants légaux.
Plusieurs actions concrètes peuvent être mises en place pour prendre compte les différents schémas familiaux :
Utiliser le terme « parent » à la place des mentions « père » et « mère » dans les fiches de renseignements internes à l’établissement ou à la classe demandées aux élèves.
Si vous menez un projet avec les élèves en direction de leur famille, préférez les mots “parents” plutôt que “père” ou “mère”.
- Visibiliser les différents schémas familiaux
Rendre visible des schémas familiaux différents de l’hétérosexualité permet de les faire entrer dans la norme des élèves et ainsi de limiter la peur de la différence ou la haine anti-LGBTQIA+.
Par exemple : travailler en classe avec des manuels, des lectures et/ou des exercices mettant en scène différents modèles de couples ou de familles au lieu des traditionnels couples hétérosexuels.
- Prévenir et lutter contre les violences de la haine anti-LGBTQI+ au sein de l’établissement
Prévenir et lutter contre ces formes de violences permettent de créer un espace sécurisé pour les élèves LGBQI+ mais aussi les élèves issus de familles homoparentales / transparentales.
- Rester vigilant/vigilante envers les enfants issus de familles homoparentales et/ou transparentales
Ces élèves issus de familles homoparentales/ transparentales peuvent subir une haine anti-LGBTQI+ en raison de leur schéma familial, il est donc important d’être vigilant/vigilante.
Réponse extraite du livret foire aux questions LGBTQI+ réalisé par l’académie de Grenoble https://www1.ac-grenoble.fr/edito/mieux-prendre-en-compte-les-besoins-des-eleves-lgbtqi-123651 ; https://www1.ac-grenoble.fr/media/25409/download
Les parents des autres élèves peuvent être amenés à être au courant, par l’intermédiaire de leur enfant, qu’un élève trans fréquente les mêmes lieux d’intimité que leur enfant, et à manifester leur désaccord.
Souvent, ces vives réactions peuvent être dues à une méconnaissance de la transidentité ou à une peur des changements de norme. Pour les prévenir, il est nécessaire de sensibiliser l’ensemble de la communauté éducative aux questions plus générales de la discrimination.
Il conviendra d’instaurer un dialogue avec cette famille en proposant une médiation afin de comprendre quelles sont ses craintes et comment les apaiser.
Mme la chargée de mission académique égalité filles garçons
observatoire-violencesdegenre@ac-montpellier.fr
Mise à jour : novembre 2024